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Sandrine travaille sur les données des réseaux de télécommunications. Avec ses équipes, elle contribue à optimiser la consommation énergétique des antennes mobiles, à renforcer la maintenance prédictive des réseaux et à lutter contre le piratage. Un rôle clé dans l’infrastructure numérique et un vrai modèle féminin tech à suivre.
Depuis toujours, elle sait ce qu’elle veut : « Je voulais être informaticienne et c’est ça qui m’a guidée. »
Depuis toujours, elle sait ce qu’elle veut : « Je voulais être informaticienne et c’est ça qui m’a guidée. »
Le déclic pour s’engager : casser les clichés
Son engagement pour la parité femmes-hommes, elle le doit à un évènement. En conseil de classe, un professeur lâche : « Cette fille-là, elle travaille pas… on n’a qu’à la laisser passer. C’est pas grave, elle trouvera un bon mari. » Personne ne réagit.
Ce moment la pousse à agir. « Je me suis dit : le meilleur moyen de répondre à ce genre d’a priori, c’est d’aller dans les collèges, les lycées et dire : oui, je suis une femme, j’ai fait des études scientifiques, et oui, on peut réussir. »
Ce moment la pousse à agir. « Je me suis dit : le meilleur moyen de répondre à ce genre d’a priori, c’est d’aller dans les collèges, les lycées et dire : oui, je suis une femme, j’ai fait des études scientifiques, et oui, on peut réussir. »
Témoigner, accompagner, inspirer grâce au mentorat
Sandrine s’engage dans une première association « Elles bougent » qui intervient dans les lycées pour valoriser les filières techniques. Puis une seconde, « Capital filles » qui accompagne les jeunes filles dans leur orientation. Elle est marraine de deux jeunes femmes chaque année. Elle partage son expérience, son écoute, ses conseils pour construire une carrière en tant que femme dans le numérique.
« Si, grâce à mon témoignage, une jeune fille ose faire ce qui lui plaît, sans subir les pressions familiales ou scolaires, alors je suis utile. » Et Orange soutient cet engagement : les rencontres avec ses filleules et les interventions dans les écoles s’effectuent sur son temps de travail.
« Si, grâce à mon témoignage, une jeune fille ose faire ce qui lui plaît, sans subir les pressions familiales ou scolaires, alors je suis utile. » Et Orange soutient cet engagement : les rencontres avec ses filleules et les interventions dans les écoles s’effectuent sur son temps de travail.
Une voix pour encourager les talents féminins à candidater
Aujourd’hui encore, Sandrine regrette le manque de candidatures féminines lorsqu’elle recrute. Elle envoie alors un message clair à toutes les femmes qui doutent :
« N’ayez pas peur. Candidatez, même si vous ne cochez pas toutes les cases !
Ce qui donne autant d’élan à Sandrine ? Sa mère, d’abord, qui lui a montré qu’on peut s’épanouir dans son travail en tant que femme. Et ses propres enfants, qu’elle veut encourager à suivre leurs envies, sans barrières. « J’ai des filles. Et ce que je fais aujourd’hui, je le fais aussi un peu pour elles. Pour qu’elles aient le choix, pour qu’elles fassent vraiment ce dont elles ont envie.
Ce qui donne autant d’élan à Sandrine ? Sa mère, d’abord, qui lui a montré qu’on peut s’épanouir dans son travail en tant que femme. Et ses propres enfants, qu’elle veut encourager à suivre leurs envies, sans barrières. « J’ai des filles. Et ce que je fais aujourd’hui, je le fais aussi un peu pour elles. Pour qu’elles aient le choix, pour qu’elles fassent vraiment ce dont elles ont envie.
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